
Eternelle et épuisante rangaine de l'aube au coeur du jour. Salement amoché par : rayon ultra violent, à travers le volet. Chapitre par chapitre, rites et répétitions. Yeux collés. Ammoncellement de merdes, dans les coins. Un homme orchestre sur chaque clavicule; une révolution léniniste au niveau de l'estomac. Pouah! Sifflements rauques, mais tant que l'air peut passer, hein...
Hélitreuillage jusqu'à la baignoire. Inouï! Mon corps s'imbrique parfaitement dans les aspérités du milieu. J'infuse. Sourire maniaco-dépressif. Ustensiles en acier, pas très propres. Tentative de prise en charge de l'enveloppe extérieure. Revêche. Epiderme farouchement opposé à toute action bénéfique à son égard. Recouvrement des zones sensibles. Sarcophage de béton autour des luisances lubriques sous les yeux. Grattoir en os préhistoriques. Silex-toi dans la joie jusqu'à seize heure: Bénédiction et vapeur d'eau. Petit thé. Tu ébouillante même la théière, mais tout le monde s'en contrefout, c'est dur. Pas un mot de plus! Chuintements étouffés. Faut remettre de la bouffe aux chats. Odeur de peinture quelque part, et de graillon. Bien le bonjour, nous sommes Dimanche.
Je ne savais pas que tu continuais ton blog. C'est avec joie que je le découvre et avce plein d'autres sentiment que je te lis. La lettre que je t'ai envoyé est pitoyable. Moi aussi. En réalité j'ai mille chose à te dire, et à sentir. Mais je ne sais pas comment faire. C'est rouillé.
RépondreSupprimerBises
Moon