
C'est ici que tout perd son sens: dans cette maison rempli de silence, vibrant sous les assauts répétés des buveurs nostalgiques, et un peu fou. Ils oublient les jours de la semaine, de sortir les poubelles et de faire le ménage, parfois. Depuis maintenant près d'une semaine, le salon de la maison s'enfonce dans une léthargie nouvelle, et si séduisante. Les canapés s'affaissent sur les ordures oubliées; les lentes volutes fantômes, d'encens stupéfiants ou de voix chaudes comme la braise, parcours l'espace auparavant bien stérile. La baignoire souffre à présent du poids non négligeable de la vaisselle sale, les miroirs de la salle de bain sécrètent de longues coulures de dentifrice et, dans son repli caché, le camembert attend sagement l'heure d'être immolé.
Oh mon Quentin! (Prends celà sobrement hein xD)
RépondreSupprimerJe te croyais ailleurs!
Oui, je suis rentré hier.
J'étais pressé, mais maintenant je décompresse en déprimant un peu!
Heu, mon programme n'a rien de bien chargé ce mois-ci, donc i'm free... si on peut parler de liberté!