C’est fou, la terreur. Ça occupe des espaces stellaires infinis et ça s’immisce dans les plis de vos draps pendant que vous sommeillez. Alors, oui, demain c’est les résultats, etc., mais ce n’est un grand jour que parce que nous sommes en été, et que de ce fait les journées sont plus longues. Tout cela n’a rien de marrant ou de burlesque. C’est, au contraire, pathétiquement tragique. Oui, car je me mets à uriner mon humour à la façon d’un Jack Russel qui n’a pas eu sa pâté. Croyez-moi, si je deviens parfaitement invraisemblable, incohérents, ou tout autre mot au préfixe privatif, c’est parce que ma chambre se transforme en chambre d’hôtel new yorkaise à deux sous. Avec les volets clos, le ventilo, sans le minibar, mais avec les Woody Allen qui tournent en boucle dans le lecteur. Ça a du bon. Ce qu’il faut maintenant, c’est supporter les cris de détresse, aller acheter un paquet d’amerloques, s’assoir à la terrasse d’un café et attendre péquin pour faire la discute. (soupir)
C’est cucu de se donner RDV dans 5 ans ?

(La photo est de moi, y'a few years. L'enfant que j'étais ne cesse de m'étonner..)
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